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PROJET SILVA

PROJET SILVA


PROJET SILVA

Création d'une forêt indigène

 

"La première règle de l'écologie, c'est que les éléments sont tous liés les uns aux autres."

Barry Commoner

 

►A propos du projet

 

L’écologie, c’est avant tout la défense des éco-systèmes, composés par une multitude d’organismes. Pour adopter une démarche écologique, il est important de comprendre l’équilibre de la relation entre l’homme et la nature, de l’aimer et de le protéger. 

Les arbres favorisent la biodiversité en fournissant abri, nourriture et protection à de nombreuses espèces d’oiseaux, d’insectes, de petits mammifères, de champignons...

La disparition d'une seule espèce végétale peut entraîner à elle seule l'extinction de 30 espèces animales.

La richesse biologique et écologique des forêts est la source du vivant.

Chaque année, entre 13 et 15 millions d'hectares de forêt disparaissent, (surface de la Belgique) . La déforestation est à l’origine de 17 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (source GIEC).

En France, la forêt regagne du terrain depuis le milieu du XIXème siècle. Mais le reboisement se fait mal, souvent une seule espèce est plantée et la biodiversité ne fait que diminuer.

Seul 0,2% de la forêt française est qualifiée de naturelle; c'est à dire non touchée par l'homme depuis environ 100 ans.

 

Notre idée est simple, sur un sol vierge, dans un but écologique et citoyen, nous voulons créer une forêt indigène. Planter différentes essences locales, de grands feuillus aux petits arbustes, dans le respect de l'environnement, sans produits chimiques.

Notre but : compenser jotre empreinte carbone, favoriser la biodiversité et montrer au plus grand nombre que des solutions sont possibles.

 

Chaque être humain a donc une empreinte carbone qui varie selon son mode de vie.

Un français émet en moyenne 11,9 T de CO2. Sachant qu'un arbre stocke en moyenne 30kg de CO2 chaque année, il faudrait environ 393 arbres pour compenser sa seule pollution.

 

►Une forêt, un documentaire

Cette idée originale et unique mérite qu'on la montre au plus grand nombre. C'est pourquoi du premier jour ou l'idée nous est apparue jusqu'au 3ème hiver après la plantation, Alexandre Leuger, réalisateur, filmera le projet caméra au poing.

C'est donc deux projets en un, une forêt, un documentaire.

 

►La forêt

 

Le projet SILVA consiste à créer une forêt indigène selon la méthode Miyawaki.

Qui est Akira Miyawaki ?

Le professeur Miyawaki est né en 1928, c'est un botaniste japonais expert en écologie retrospective aplliquée à la restauration des forêts natives. Il a ainsi mis en place une méthose et depuis a planté plus de 40 millions d'arbres.

 

En quoi consiste la méthode Miyawaki?

Recommandations générales:

Flexibilité: s’adapter aux conditions locales et utiliser les moyens disponibles pour que la plantation réussisse. 

Faire prendre conscience aux locaux de l’importance du projet et les impliquer lors de la plantation. 

Calme: faire les choses sereinement afin d’assurer la pérennité de la forêt.

→Etape 1 : Recherche de la Végétation Potentielle Naturelle

Identification des communautés d'essences 20 km autour de la zone de reforestation.

Diversification des essences d'arbres avec au moins 50 espèces différentes.

→Etape 2 : Préparation du terrain

Nettoyage et préparation du terrain

→Etape 3 : Plantation de la forêt par les volontaires et la communauté

Planter de manière dense 3 espèces par m²

Appliquer un paillage de protection pour imiter l'humus de la forêt.

 

Une plantation selon la méthode Miyawaki est 30 fois plus dense qu'une revégétalisation classique, la biodiversité est 100 fois plus riche et la croissance des arbres 10 fois plus rapide environ 1 mètre par an et au bout de trois ans la forêt devient autonome.

 

Ce sera la plus grande plantation selon la méthode Miyawaki en Europe !

 

Le lieu : près d'une ferme sur la commune du Garric dans le Tarn.

 

La parcelle : elle fait un hectare et est actuellement plantée en luzerne. Orientée Nord, Nord-Est, elle offre une diversité de sol intéressante.

 

Les arbres indigènes que l'on veut planter :

Acer campestre Erable champêtre

Quercus ilex Chêne vert

Acer monspessulanum Erable de Montpellier

Quercus petraea Chêne sessile

Alnus glutinosa Aulne glutineux

Quercus humilis Chêne pubescent

Arbutus unedo Arbousier

Quercus robur Chêne pédonculé

Betula pendula Bouleau verruqueux

Salix alba Saule blanc

Crataegus monogyna Aubépine monogyne

Salix caprea Saule marsault

Fagus sylvatica Hêtre

Sorbus aria Alisier blanc

Fraxinus angustifolia Frêne oxyphylle

Sorbus aucuparia Sorbier des oiseleurs

Fraxinus excelsior Frêne commun

Sorbus domestica Cormier

Ilex aquifolium Houx

Tilia cordata Tilleul à petites feuilles

Tilia platyphyllos Tilleul à grandes feuilles

Populus alba Peuplier blanc

Ulmus glabra Orme de montagne

Populus nigra Peuplier noir

Ulmus minor Orme champêtre

Prunus avium Merisier

Crataegus laevigata Aubépine épineuse

Cornus mas Cornouiller male

Corylus avellana Noisetier

Cydonia oblongua Cognassier

Juniperrus communis Genevrier

Pyrus communis Poirier sauvage

Rosa canina Eglantier

Rubus idaeus Framboisier

Sambucus nigra Sureau noir

 

 

 

►Le documentaire

 

Note d’intention du réalisateur :

L’objectif initial du film est de raconter les étapes de la création d’une forêt. J’aimerais aller plus loin.

Mon intention de citoyen part d’une prise de conscience démarrée il y a plus de dix ans. Elle s’est traduite par des attentions quotidiennes sur mon environnement et sur ma consommation. Aujourd’hui, je suis dans la démarche de me tourner vers la Nature, d’aller à sa rencontre, de l’observer et d’interagir avec elle. Cela m’a amené à faire des rencontres, à expérimenter, et bien sûr à apprendre. Avec l’idée de créer une forêt, je vois là l’occasion de m’investir encore davantage auprès de la Nature et d’apprendre encore davantage grâce aux rencontres et à l’expérimentation.

 

Accompagné de ma caméra, je souhaite partager cette démarche dans l’espoir toujours un peu naïf que le film inspire le spectateur.

 

Mon intention de réalisateur s’inscrit dans la continuité de ma démarche citoyenne. Si nous partons à la découverte ou la redécouverte de la Nature et de sa biodiversité, c’est que nous désirons interagir avec Elle. Ainsi se développe une relation entre la Nature et l’Homme.

Cette expérience, c’est comme un retour vers ce que nous ne connaissons pas. Cette aventure inédite nous amène à nous intéresser à la Nature, et donc aussi à l’Homme.

Alors je vais m’intéresser à ceux qui vont contribuer au projet de création d’une forêt, ceux qui vont faire la démarche de la bâtir avec nous. Nous sommes curieux à tout âge, c’est pourquoi chacun est le bienvenu pour entrer dans l’aventure.

 

La biodiversité, les arbres, les plantes, les insectes, les animaux, l’eau, l’air. Autant de sujets interdépendants de l’Homme, autant d’éléments dont nous dépendons d’une façon ou d’une autre. La disparition des espèces, la pollution de l’air, autant de drames dont nous sommes coresponsables et qui entraînent une prise de conscience collective de notre action sur la destruction de la Nature. Aujourd’hui je vous invite à entrer dans le Projet Silva, le projet qui réintroduit l’Homme auprès de la Nature. Et si on partait à sa redécouverte, ensemble ?

 

►A quoi va servir le financement

 

L'argent récolté servira à planter la forêt. En comptant la préparation du terrain, l'achat du plant, la plantation et l'entretien de la forêt, il nous faut 65 000 euros pour réaliser le projet.

 

BUDGET GLOBAL NECESSAIRE

Pour planter la forêt et ses 30 000 arbres il nous faut 65 000 euros

 

1er palier : 25 000 euros permet de commencer le projet et de planter 1/3 de la forêt

2ème palier : 35 000 euros permet de planter la moitié de la forêt

3ème palier : 50 000 euros permet de planter les 2/3 de la forêt

4ème palier : 65 000 euros permet de planter la totalité de la forêt

 

Nous planterons les arbres au pro-rata du financement. Si nous arrivons qu'à 15 000 euros nous planterons donc 7000 arbres ! 

 

►À propos du porteur de projet

 

Yann Roques le porteur du projet a 29 ans, passionné d'Histoire depuis l'enfance il est secrétaire du Centre Archéologique des Pays Albigeois et conférencier. Il aime transmettre son savoir au public. Depuis presque une dizaine d'années il fait des films, là aussi par passion. Après un documentaire historique en 2011 (Coroarios), un film documentaire historique en 2014 (Makrian) et une fiction en 2017 (Le sang des hommes libres), il a crée le projet Silva, un projet écologique qui lui tient à coeur.

 

Alexandre leuger, le réalisateur, a 29 ans, il est diplomé de l'Ecole Supérieur de Réalisation et de l'Audiovisuel de Paris, il a travaillé pour la télévision puis après avoir eu deux enfants il s'est reconverti en tant qu'éducateur social auprès de personnes handicapés. Aujourd'hui il est revenu à ses premières amours à savoir le Cinéma. Il dirige une entreprise de réalisation de films. Sa conscience écologique est là depuis toujours, mais avec le Projet Silva il va pouvoir la mettre en pratique. Il suit déjà le projet depuis le jour où l'idée a germé dans la tête de Yann.

►Contacts 

 

https://www.facebook.com/projetsilva

twitter : @DavincicorpFr

instagram : projet_silva

email :

 

14 610 € Collectés sur 65 000 €

22%
0 Jour restant
438 Participations

Organisateur

Roques Yann

Profil vérifié

Bénéficiaire

Davincicorp®